SCORSESE, L'EXPOSITION (CINEMATHEQUE FRANCAISE, PARIS)

Lorsque j'ai entendu parler de l'exposition Scorsese à la Cinémathèque à Paris, je me suis demandée ce qu'une exposition dédiée à un réalisateur pourrait bien apporter. Car même si l'on a de plus en plus l'habitude de voir des expositions sur des thématiques qui sortent du cadre de l'art tel qu'on l'entend au sens premier (au choix : photographie, sneakers, haute-couture, jouets cf. l'expo Lego, musique avec ma dernière en date dédiée à David Bowie), une expo sur un cinéaste me paraissait un peu plus saugrenue.

Et donc m'intriguait.

En définitive, j'en ai découvert plus sur le personnage qu'est Scorsese, ce monstre du cinéma américain qui nous a offert des films, des acteurs, des lieux et des répliques... Cultes.

Pour commencer, j'ai été impressionnée par le nombre de films qu'il a réalisés et qui sont restés dans les annales. Même si je les connaissais déjà pour la plupart, revoir dans un seul et même lieu l'étendue de son oeuvre est assez bluffant.
Dois-je en citer ? Taxi Driver, Aviator, Casino, Gangs of New-York,  Raging Bull, La Couleur de L'Argent, Le Loup de Wall Street...

Et qui dit "films", dit "acteurs". Et l'on retrouve des noms qui claquent parmi les chouchous de Scorsese : Robert de Niro, Joe Pesci, Harvey Keitel, Leonardo di Caprio pour la gent masculine et Jodie Foster, Sharon Stone, Michelle Pfeiffer ou encore Cate Blanchett pour ces dames...

Lors de ma visite de l'expo, j'ai été saisie par l'importance qu'a la ville de NY pour le réalisateur. Sur le papier, moi qui adore New-York je ne peux qu'aller dans son sens. Sauf que c'est en particulier le quartier de Little Italy où il a grandi, qui l'a influencé. Un quartier où à l'époque la criminalité était forte et d'où Martin, jeune, ne sortait pas beaucoup, alors sujet à un asthme violent.
Du coup, il passait ses journées devant la TV où au cinéma. C'est probablement ce qui lui a inspiré sa passion pour l'image, son style et ses choix d'intrigues.

EXPO GAMES OF THRONES, PARIS

Petite brève pour vous parler de l'expo GAMES OF THRONES qui ouvre demain à Paris. 

C'est une expo éphémère, vraiment, puisqu'elle aura lieu du 8 au 12 septembre 2015 uniquement, dans le très symbolique Carrousel du Louvre à Paris. La Ville Lumière est la dernière étape de son voyage à travers les différents royaumes de Westeros et Essos, parmi lesquels ceux de Londres, Stockholm, Tel-Aviv ou encore le mythique Comic-Con de San Diego aux USA !

Avec elle, vous pourrez découvrir des objets symboliques de l'univers de Games Of Thrones, qui raviront les fans from The Vale. Par exemple, vous pourrez admirer les œufs de dragons Khaleesi et un joli petit corps d'enfant de Meereen carbonisé (qui a dit "glauque"?), les costumes stylés d'Oberyn, de Sansa Stark, Daenerys Targaryen ou de Mélisandre, la Femme Rouge... Et le Trône de Fer lui-même. 

LE FIFTY-FIFTY DE LA SEMAINE : CAPRICE, LE FILM

J'ai eu l'occasion d'assister à une avant-première du film CAPRICE, qui sort mercredi prochain au cinéma, en présence de l'équipe du film.  

Le film a été présenté par Emmanuel Mouret. En tant que réalisateur et rôle principal masculin du film, il était particulièrement bien placé pour en parler à l'audience. Pour détendre l'atmosphère probablement, il a d'ailleurs plaisanté sur le fait qu'on puisse ne pas aimer son film, ce qui s'avérait être, oups !, une blague à double-tranchant. 

Le pitch de Caprice est le suivant : Clément, maître d'école divorcé et un peu la tête dans la lune, est subjugué par Alicia, comédienne de théâtre jouée par Virginie Efira, à tel point qu'il ne manque pas une seule de ses pièces. 

Et par un heureux hasard, son monde normal croise celui de la fameuse Alicia, mouvementé, coloré, pailleté. Mais il croise aussi celui d'une jeune femme, une version plus jeune, plus spontanée et excessive d'Alicia .... Et là comme dirait l'autre, c'est le début des emmerdes. 

Ma copine qui m'accompagnait à cette projection, a trouvé à ce film un je ne sais quoi de Woody Allen à la Française, et je suis plutôt d'accord avec elle.

Avec son rythme, sa couleur un peu passée, les hésitations, l'indécision et bredouillis de son acteur principal, et bien sûr le dilemme et le triangle amoureux. 

GAMES OF THRONES, Le Retour

Cela ne vous a probablement pas échappé, la saison 5 de Games Of Thrones arrive dans 6 semaines sur les écrans US.

L'affiche de la saison vient tout juste d'être révélée. Et on dirait que Tyrion va avoir du boulot...

Les premiers trailers sont également sortis. En voici un :

EN VRAC #7

Je viens de découvrir, enfin, la BIRCHBOX, cette box beauté qui nous vient de New-York City, USA et qui a "fusionné" avec la Française Jolie Box. Si celle de décembre m'a beaucoup plu, avec de vraies découvertes beauté pour moi, je dois dire qu'il y a eu un effet de surprise moindre pour l'édition de janvier.

5 produits à découvrir parmi lesquels l'eau de bouche Marvis (j'ai envie de demander pourquoi?) ou encore les soins Aussie et Polaar, des marques très sympas mais déjà connues via... My Little Box :-( 

Du coup, un léger sentiment de déception pour cette version de la box dont la promesse est de dénicher le meilleur de la beauté. Mais bon, la box de février promet d'être coquette. Alors attendons de voir ;-)

En mode pêle-mêle, vous saviez que les vidéos-clubs existaient encore ?!!! Oui je sais, ça surprend !

Moi et tous les passants qui se sont arrêtés devant LA BOÎTE A FILMS avons eu la même réaction... 

A l'époque de la VOD sur TV, de Netflix, des applis streaming, de CANAL+ A La Demande et des torrents, se dire que quelqu'un ouvre un magasin physique pour proposer des films, c'est hallucinant. Mais quand j'y pense, j'adorais moi me rendre régulièrement au Vidéo-Club les soirs où je ne savais pas quoi faire, choisir pendant des heures parmi la liste de nouveautés et de comédies dramatiques.

LE FIFTY-FIFTY DE LA SEMAINE : SAINT LAURENT, LE FILM

Vous l'avez probablement vu sur les réseaux sociaux*, je suis allée voir en début de semaine le film qui a déchainé les passions et les critiques au Festival de Cannes et avant (pour avoir subi les foudres de Pierre Bergé qui a tenté de le faire interdire). 

Ce film a le mérite d'apporter une vision originale, dans tous les sens du termes, du créateur mythique. 

Après tout, que sait-on d'Yves Saint-Laurent ? C'est un nom qui a sans conteste marqué la mode contemporaine, voire même l'a façonnée.

C'est une silhouette bienveillante et calme et un visage au regard un peu douloureux caché par de grandes montures en écaille. C'est le 1er couturier français à avoir fait défiler des femmes noires sur les podiums. C'est aussi celui par qui le smoking d'hommes et ses apparats se sont transformés en parure sexy pour la femme, belle & libre. 

On en sait déjà beaucoup. Du moins, le croit-on. 

"J'ai mené le combat de l'élégance et de la beauté, et je suis passé par bien des angoisses, bien des souffrances" dit Helmut Berger, version senior d'YSL dans "Saint Laurent".

Et on ne peut que le prendre au mot. C'est ce versant que Bertrand Bonello explore pendant 2h25. Et on peut dire que c'est une exploration sans détour! On y palpe le tourment, la sulfure, l'angoisse, la fragilité d'Yves Saint Laurent, à un point que l'on n'aurait pu imaginer (à un point peut-être exagéré?)

Et c'est ainsi que l'on découvre à quel point YSL était un artiste, à tous les niveaux. Son esprit créatif,  son manque d'inspiration, sa solitude, son besoin d'être entouré de muses, son environnement gorgé d'art et d'artistes et bien évidemment ce penchant démesuré irrésistible pour l'excès (l'oxymore n'est pas de trop) et la difficulté à s'accepter. 

HIPPOCRATE, LE FILM (no spoiler, promis!)

Vous avez peut-être lu mon tweet un peu embrouillé de jeudi soir. Je sortais du ciné où je venais de voir le très bon HIPPOCRATE. 

Et l'exercice de rédaction synthétique imposé par le petit oiseau bleu était bien trop difficile  pour décrire mes impressions du film... 140 caractères c'est trop juste dans ce cas précis ! 

Hippocrate suit l'entrée d'un jeune interne joué par Vincent Lacoste dans un service de Médecine Interne. 

Sa découverte de son nouveau milieu professionnel en immersion sert également d'alibi à une présentation du milieu hospitalier. Ce n'est pas un environnement qui m'est vraiment familier ou dans lequel j'évolue. Ce que j'en connais, c'est par les expériences que mes proches ou amis, chirurgiens, infirmiers ou encore internes m'ont racontées par-ci par-là, la plupart du temps avec beaucoup de passion. Et évidemment, mon expérience personnelle de l'autre côté de la barrière en tant que malade qui a malheureusement squatté quelques fois les lits de l'AP-HP de Paris. 

Pour autant, ce que Thomas Lilti, le réalisateur, a donné à en voir m'a vraiment touchée. Sans être poussif ni indolent. 

Ici, on est loin de Scrubs et on ne s'attarde pas sur le fait que les internes peuvent être un peu malmenés par les anciens. Bien au contraire. On n'est pas non plus dans le sensationnel plein de termes scientifico-incompréhensibles (pour des personnes lambda) de Dr House. Ni dans le sentimentalisme aigu d'un Grey's Anatomy. 

Avec Hippocrate, on a le sentiment de se laisser emporter dans du réel. Et le parti-pris d'un montage avec très peu de musique, comme me le faisait remarquer l'Incroyable, joue probablement sur cette sensation. C'est comme dans notre vie à nous.

 

LE STYLE OLIVIA POPE (SCANDAL) !

Je ne sais pas vous, mais moi je suis addict à plusieurs séries en ce moment, et SCANDAL en fait partie.

Et à chaque épisode, il y a un truc en particulier qui me frappe et me laisse même rêveuse... Ce sont les looks d'Olivia Pope, a-ka Kerry Washington, héroïne de la série. Je suis épatée par son look de business woman, toujours chic, toujours nickel. Madame a quand même un style qui envoie du bois, parfois trop américain (mais comment fait-elle, ou plutôt, combien de temps lui faut-il pour être coiffée si impeccablement à chaque épisode avec ses cheveux de black et donc par définition relous voire indomptables toujours coiffés au millimètre? Ça aurait pu mériter un post à part) et donc importable chez nous, mais quand même hyper stylé. 

Et même dans les scènes où elle est chez elle, à picoler du vin rouge dans son canapé visiblement un pêché mignon sur lequel personne ne s'est attardé... Moi, je pense qu'elle est un peu alcoolique...  habillée version casual, elle est parfaite ! 

Sur ce point, c'est un peu mon idôle...

Donc, cet article était un peu un incontournable. Inevitable, comme dirait Brad. 

Olivia Pope en Jean Fares

Pour toutes celles en manque d'inspiration pour leurs looks de working-girls, voilà de quoi piocher.
Burberry Prorsum, Salvatore Ferragamo, Marni (cocorico!!!), Prada, Goyard, Jean Fares, Michael Kors, Escada, Max Mara... Une vraie déclaration d'amour au luxe !

ALL ABOUT ALBERT (Enough Said)

J'ai vu ce film dans l'avion pour Miami. Il était dans la catégorie des "Nouveautés" et à la base, je n'avais pas été particulièrement attirée par l'affiche (c'est souvent la seule façon dont je choisis mes films, étant donné que je déteste les bandes-annonces actuelles qui dévoilent les meilleurs moments des films).

Et puis j'en ai lu une petite critique dans le Cosmo que je venais d'acheter. Et ça m'a intriguée de voir qu'il s'agissait du dernier film du regretté James Gandolfini, le célèbre interprète de Tony Soprano. 

I watched this movie in the plane to Miami. It was in the "new released" selection and the film poster did not really appeal me (i base a lot of my decisions for movie-watching on the posters, as trailers always reveal too much of the film). But then I read a short critic in my Cosmo magazine saying that it was the last film of the late James Gandolfini, the actor who played Tony Soprano.

Alors je l'ai lancé.

Et je dois dire que l'histoire m'a plu. C'est un film simple. Qui parle de la vie simple de gens normaux. Évidemment, certaines choses sont romancées, il faut bien que le film vous captive tout du long, mais j'ai vu ce film comme un petit film d'auteur, vrai sur les relations humaines, et bien sûr, les relations amoureuses. Mais non pas de comédiens sexy qui jouent des personnages sexy, riches dans des intrigues hors du commun. 

On parle de gens ordinaires : une masseuse à domicile, divorcée et mère d'un enfant, que l'on voit galérer à porter sa table de massage du domicile d'un patient à l'autre. Un homme, divorcé lui aussi, qui est loin d'être l'archétype George Clooney, puisqu'il est bien portant et que ce sujet précis n'est pas évité dans le film. Et une potentielle histoire d'amour entre les deux, qui ont des tas de points communs mais aussi pas mal de différences, et surtout un passé amoureux qu'on ne peut ignorer.

So I pressed play. 

LE BON PLAN DU WEEK-END, 1er & 2 février 2014

Le Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême a ouvert hier ! C'est un peu l'occasion de célébrer le IXème art qu'on ne peut décemment plus éviter désormais, entre les adaptations cinématographiques de BD anciennement geeks, les t-shirts à messages qui font fureur et l'art de vivre Cosplay...

Alors pour ceux qui n'auront pas la chance d'aller en Charente ce week-end, voici des sympathiques rendez-vous de substitution à Paris.

L'exposition ALBUMS, qui se tient au cœur du splendide Musée de l'Histoire de l'Immigration, dont le palais Art Déco mérite une visite en soi. J'ai eu l'occasion de faire cette expo dense, parfois un peu désordonnée mais saisissante et éclectique, qui revient sur l'immigration via les témoignages dessinés de nombreux artistes. On y retrouve le travail de grands noms  tels Uderzo, Marjane Satrapi, Enki Bilal ou encore Farid Boudjellal qui a écrit de magnifiques BD presque poétiques sur l'immigration de ses parents... mais aussi des artistes étrangers moins connus des néophytes mais tout aussi passionnants.

Pour un côté plus léger, passez faire un tour à l'expo PIXAR, 25 ANS D'ANIMATION au Musée de l'Art Ludique  qui expose les œuvres originales qui ont donné naissance à nos copains Némo & Dori, Buzz L’Éclair ou encore Ratatouille ! 

EN VRAC #4

Les burgers de LA CANTINE CALIFORNIA. 

Honnêtement, j'en ai mangé des tas d'hamburgers et de très bons. Mais ceux-là sont simplement les meilleurs que j'ai mangés ! Savoureux, juteux,une viande parfaite, un pain délicieux. D'ailleurs, pour une fois, j'en ai mangé les 2 parties ! (oui je sais, c’est vraiment très intéressant...). N'empêche que je vous le dis, ces burgers, c'est de la tuerie !

CONNASSE
Non, promis, je ne suis pas en train de vous insulter gratos.
Mais on m'a parlé de ce programme court sur Canal que je n'arrive jamais à voir en direct, ce qui en fait est mieux ! Parce-que du coup, je peux m'en regarder plusieurs d’affilée du coup ! Ce que je fais, parce-que c'est pas mal du tout.
Ça pourrait être encore plus caustique, mais franchement j'aime bien. Camille Cottin est top. J'aimais déjà ce qu'elle faisait avant. Parfois, elle va trop loin... Et là, c'est encore meilleur ;-)
Jugez plutôt :

Ça vous a plu ? Les autres épisodes sont dispos ici.

Les bijoux LUNATICART 

J'ai découvert cette ligne de bijoux à la Boutique Éphémère (où j'avais rencontré Suzy) et j'ai buggé sur les petites bagues couronne. J'adore, ça fait ressentir la petite Princesse qui est enfouie très loin en moi.

Le reste de la collection est vraiment sympa, c'est original, épuré et en plus c'est accessible. je vous invite à aller voir la collection ici.
 

LE BON PLAN DU WEEK-END 26-27 Octobre 2013

Ce week-end est un week-end de vacances scolaires, alors priorité aux mini-pouces! D'autant plus que c'est la 4eme édition de MON PREMIER FESTIVAL. Une chouette idée pour leur faire découvrir le monde du cinéma, avec cette année une sélection d'extraits de classiques de Jacques Tati (finalement pour les grands et les petits), de jolis films d'animation et plein d'autres histoires à découvrir.

L'introduction proposée par un conteur africain avant la séance de Kirikou Et Les Bêtes Sauvages à L'Archipel (Paris 10ème)  samedi et le ciné-goûter qui suivra la séance du film Les Vacances de Monsieur Hulot dimanche au Louxor devraient être sympas! 

Mon Premier Festival, ça se passe dans pleins de salles de ciné de la Capitale, c'est 4€ la séance et c'est dès 3ans. Il y a même 2 séances pensées pour les babies avec le son et la lumière réduits au Chaplin Denfert (Paris 14eme) et Saint-Lambert (Paris 15ème)!

Toute la programmation de samedi ici et du dimanche là ! 

Pour les plus grands, alors que sort le nouvel album des aventures de nos gaulois Astérix & Obélix, le blond moustachu ASTÉRIX (hipster avant l'heure ?)  est à l'honneur  à la BnF. L'occasion de revenir sur la naissance du héros ancêtre franchouillard et surtout de ses 2 créateurs.

FILMS DE GENRE(S)

En l'espace de 4 jours de temps, je suis allée voir un bon film de filles avec des histoires d'amour, des histoires de cul d'amour et des histoires d'amour, et un vrai film de garçons (du moins sur le papier) avec super-héros, effets spéciaux et tout et tout (et je passe sous silence le fait d'avoir regardé Expendables 2 en VOD entre-temps...).                

 

Ceux et celles qui me suivent sur InstaMachin savent que je suis allée voir le film JOSEPHINE avèèè mes coupines !!!

Une bluette qui fait passer un moment agréable à toute fille-fille normalement constituée (un peu comme Clara Sheller).     

Je n'avais pas d'attentes particulières sur ce film. J'y allais plus "pour voir" étant donné que j'ai été pendant longtemps une adepte des BD de Pénélope Bagieu et de son blog Ma Vie Est Tout À Fait Fascinante, grâce à ma cops d'Un Éclat Au Cœur. D'ailleurs, je préfère prévenir, on ne retrouve pas beaucoup de points communs entre l'héroïne du film jouée par Marilou Berry et la "vraie"  Joséphine, la version originale quoi. 

Sauf : le goût pour les réparties cinglantes et les vannes pourries,  les manières de poissonnière et le physique très Orangina avec un fessier "po-po-pom-pom" rebondi qui donne lieu à quelques blagues bien senties.

   

Mais passé ces 3 similitudes, Joséphine c'est simplement un bon film de midinette avec quelques effets de réal cartoonesques qui font passer un bon moment entre girls un vendredi soir en sortant du boulot. 

Quant à MAN OF STEEL ... Comment dire. Qui n'a pas vu son frère se prendre pour le superhéros au costume le plus clownesque de toute la planète des super-héros?

Qui n'a pas en mémoire l'inénarrable Christopher Reeves dans son costume moulant et sa mèche au Pento qui fait le tour de la Terre à l'envers pour sauver Loïs Lane? 

Et qui n'a pas en tête l'amourette un tantinet agaçante de Teri Hatcher (plus connue sur Wisteria Lane sous les traits de Suzanne) ? Ou même le post-ado croquignolet de Smallville?  Donc forcément un sujet largement usé et sur lequel on a un avis avant même d'avoir vu le film.    

GATSBY LE MAGNIFIQUE

Pour celles et ceux qui suivent mes gazouillis ou mon Instagram, vous savez déjà que je suis allée voir GATSBY au ciné.

Avec tout le barnum qu'il y a eu autour de ce film et bien sûr l'ouverture du Festival de Cannes hors-sélection, j'avais envie, une fois n'est pas coutume, d'aller le voir vite. Malgré ce que cela implique en termes d'attente, de queue et de cohabitation non-désirée mais bien, bien, subie avec des gens qui mangent des trucs qui puent ou qui commentent toutes les scènes au ciné. 

Que dire... Ce film est étonnant. Il y a un rythme, une scénographie épatants. Ça brille de mille feux, c'est grandiose, théâtral, frénétique, ça en met plein la vue, à l'image du personnage éponyme, #magnifique ! 

WHO RUN THE WORLD #2

Après Girls et New Girl, j'ai découvert deux autres séries bien marrantes dont les principaux héros sont des meufs ladies.     

2 BROKE GIRLS

   

Les 2 héroïnes Max et Caroline sont sexy et hilarantes. L'une est brune, gironde, terre-à-terre et fauchée. L'autre est blonde, tendance ravissante idiote fille-à-papa et... fauchée.

Par un coup du sort, leurs routes se croisent et ne se quittent plus, les 2 forment un duo d'EN-FER. Leur objectif, sortir de la broke-ness et monter un business ensemble.

CHICK MOVIE, MAIS PAS QUE !!!

Rapidement, pour vous dire que je suis allée voir AMOUR ET TURBULENCES au ciné et que contre toute attente, j'ai passé un vrai bon moment. Pareil pour l'Incroyable et même mon frère, intraitable sur les films, a aimé.
 

Pourquoi?

Parce-qu'Antoine le french serial lover joué par Nicolas Bedos est vraiment bien vu, drôle, touchant ironique et très très bien interprété par l'écrivain/chroniqueur/acteur/metteur en scène.

Parce-que les dialogues sont pétillants, bourrés d'humour et d'une belle répartie.

Parce-que, même si l'histoire est cousue de fil blanc, on se laisse porter et on se marre.

Le couple Sagnier-Bedos est beau à l'écran, ce qui ne gâche rien.

LES MISERABLES (the movie)

J'ai eu la chance* d'aller voir LES MISERABLES avant sa sortie en salles. C'est quand même le film événement du mois, au casting bluffant : Hugh Jackman, Anne Hathaway, Russell Crowe, Amanda Seyfried...

Ce film est librement inspiré du classique de notre (cocorico!!!) Victor Hugo national.
Bon, quand je dis que je suis allée voir ce film, il me parait honnête de vous préciser que j'en ai vu... 55minutes.
55minutes sur 150. Soit 2h30 au total.
Bah oui, je l'admets, c'est le plus que j'ai pu faire. Impossible de faire autrement.
Ce qui, en soit, est bien dommage (it's a shame diraient nos amis anglo-saxons) puisque du coup, si j'ai pu profiter de la performance d'Anne Hathaway (vu dernièrement en Catwoman) plutôt convaincante en Fantine désemparée, je n'ai pas eu la chance de voir Eddie Redmayne, le very cute boy de My Week With Marylin. Apparemment, il arrivait après l'heure de film... Idem pour Mme Tim Burton.

LET IT SNOW, LET IT SNOW, LET IT SNOW

LE BON PLAN DU WEEK-END !
Il neige, il neige, il neige sur les toits. Il neige, il neige, il neige sur toi et moi ! Et sur le blog, mais ça, ça fait un mois ;-) )
Bah oui, ça faisait longtemps, qu'on n'avait pas vu ça. j'étais à Londres jeudi, il neigeait. Je reviens à Paris hier, il méga-neigeait !!!

Côté Londres

Côté Paris

J'adore! Les paysages habituels revus et corrigés sous un manteau blanc, l'atmosphère ouatée, le calme qui s'installe, les enfants qui rient...
Bref, c'est chouette. Mais c'est aussi casse-gueule! (pardonnez-moi l'expression). Alors comme c'est le week-end, et que vous avez certainement passé une semaine chargée et gelée, je vous propose 3 bonnes idées à faire tranquillement à la maison.

1. UN RATTRAPAGE DE SÉRIES
Allez hop, on regarde les séries dont on parle! Les Revenants, (en DVD) la dernière série événement de CANAL+, hyper bien faite. Mais j'avoue, je n'ai rien compris à la conclusion de la saison (si ce n'est qu'il y en aura certainement une 2ème). Si vous la regardez, dites-moi!!!

THE PERKS OF BEING A WALLFLOWER

Je suis tout récemment allée voir un teen movie pas comme les autres : LE MONDE DE CHARLIE. 

Je vous aurais bien dit "l'histoire se passe..." Mais le lieu et le temps ne sont pas vraiment donnés. Seule la musique et quelques accessoires font pencher la balance vers la fin des  70s, début 80s. Quoi que....

Toujours est-il que c'est l'histoire apparemment classique d'un jeune ado qui vient de finir le collège et arrive au lycée, pas franchement populaire, qui passe même pour un boulet aux yeux de la première de la classe, c'est pour dire. 

Pas idiot, pas vilain non plus, il a un peu une réputation de wierdo (che-lou en français :-) ) et n'a donc évidemment aucun ami. On penserait pouvoir deviner la suite du film assez aisément, et pourtant, non. Elle surprend. On se laisse mener par l'histoire de ce Charlie qui n'est pas aussi simpliste qu'on le croit. Logan Lerman, qui l'interprète, est vraiment très bon.

On se laisse séduire par ses camarades du film, Emma Watson, qu'on ne présente plus, et Ezra Miller, deja vu dans We Need To Talk About Kevin ou comme petit ami de Becca dans Californication. A noter le petit rôle de Nina Dobrev, l'Helena de Vampire Diaries ou encore Kate Walsh, l'Addison de Grey's Anatomy, méconnaissable.
 

MOVIE-MARATHON

3 films en 5 jours...
Je ne sais pas si c'est dû au froid et au besoin de se réfugier là où il fait chaud et où ça sent le popcorn, mais je suis bien allée voir 1 film toutes les 40 heures.

SKYFALL
A la base, c'était pas bien parti. Quantum Of Solace m'avait laissé comme un parfum de déception, bof bof bof. Heureusement que Casino Royale était bien.
Sans compter que les gens qui m'entourent et qui sont allés voir Skyfall ne m'en ont pas vraiment fait l'éloge... Et puis, cette manie de mettre un Kosovar pour jouer l'élégant agent British 007. J'ai un peu de mal avec la crédibilité de Daniel Craig au Service de Sa Majesté...
Du coup, j'y suis un peu allée pour faire plaisir à Galak.
Résultat : j'ai bien fait.

Skyfall est réalisé par Sam Mendes, reconnu pour sa mise en scène et son travail des personnages et qui a déjà à son actif : American Beauty, Away We Go, Jarhead, Noces Rebelles... et qui est accessoirement l'ex-mari de Kate Winslet. Voilà pour le pedigree...

Les personnages ont presque tous de l'épaisseur. Javier Bardem en méchant-costaud-machiavélique-qui-fait-peur a realisé une prestation de haut-vol. Surtout dans la scène où l'on découvre son personnage, je vous laisse voir ça ! 

J'ai trouvé le film plus authentique, même si beaucoup moins gadgetisé, tendance minimaliste oblige. Comme l'a dit la critique, il me rappelle plus les anciens James Bond. J'admets aussi que c'est un souvenir vague et lointain, ayant dernièrement eu mieux à faire que de me regarder la jeunesse de Sean Connery et Roger Moore en VOD.
Et pour finir une BO vraiment chouette avec la chanson-titre par Adèle. J'ai tellement aimé que je vais vous la mettre en fin de l'article...

2ème film, TED