Petit coup de gueule aujourd'hui, contre une pratique ultra
courante en ce moment dans les bars à Paris : les tarifs hallucinants
des softs drinks....
La dernière
fois, j'étais au Faust avec des amis pour aller boire un verre après
le travail. Les 1ers arrivés ont pris une bouteille de rosé et au bout
du 2ème verre, j'avais envie de passer à autre chose.
J'ai commandé au bar une bouteille de rosé pour la communauté, 32€... Sic !
Et
pour ma part, j’aperçois qu'il y a également des grandes bouteilles de Coca et de Perrier au bar. Je demande un verre de Perrier, et on me répond... 5€. 5€ ? C-I-N-Q euros!!!! Pour un verre d'eau? Et même pas
la jolie bouteille en verre qui a fait sa réputation, et même pas le
confort d'une table et une jolie chaise de bistrot pour en profiter? Et
même pas ma rondelle de citron?
J'étais dépitée.
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| Photo by MaVieParis.com |
Non mais franchement, qu'est-ce que ça veut dire ces tarifs prohibitifs pour un verre d'eau?
Je
veux bien croire que la demande soit moins courante... Mais marger à ce
point-là c'est moche. Et puis sérieusement, si on cherche à prendre un
verre de soft alors qu'on est en soirée avec vue sur la Seine, il y a
peu d'options : soit on conduit, soit c'est par respect de sa religion,
soit on est enceinte, soit c'est par goût perso. Mais dans tous les cas,
je ne comprends pas ce hold-up.
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| Le Faust... |
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| ...a-k.a l'un des lieux du Crime ;-) |
Je ne parle même pas de la bouteille de vin rosé, probablement trouvable dans le commerce à 7€ et que l'on vous refacture presque cinq fois plus... Mais le coup de l'eau me choque vraiment. Cela n'encourage vraiment pas des conduites responsables. Quand je vois que dans un bar parisien en général, une bière est moins chère qu'un coca, j'hallucine.
J'ai envie de faire intervenir E.Leclerc et son QuiEstLeMoinsCher.com!
Franchement,
à vous les patron(ne)s de bistrots et bar parisiens... Pourquoi ne pas
mettre en place des initiatives sympas et plus responsables?
Ce pourrait être 2 cocktails achetés, un soft offert ou softs à volonté pour Sam*!
Et
je fais référence ici aux tarifs prohibitifs, mais je pourrais aussi me
pencher sur la morosité des soirées pour quelqu'un qui ne boit pas
d'alcool. Alors que tout le monde a envie d'un joli verre, bien travaillé...
Le choix se restreint souvent à l'eau, au Coca et parfois au Schweppes ou de l'Orangina... Paye
ta diversité. D'autant que ces softs que l'on retrouve sont la plupart du temps ceux qui s'accordent aux spiritueux.
Enfin voilà. J'avoue que parfois, entre ce facteur prix et le côté un peu trop sélectif des nuits parisiennes, cela me donne moins envie de sortir à Paris. C'est un sentiment de courte durée en général, mais quand même... C’est un peu dommage de le ressentir malgré tout, non?
S.U.L.A
*Pour ceux qui ne voient pas qui est Sam, c'est celui qui conduit. Et on ne le répète jamais assez, celui qui conduit, c'est celui qui ne boit pas. A bon entendeur...
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1 commentaire:
Non mais on est d'accord
C'est clair que c'est mega cher
Et ça rebute clairement à aller dans la capitale parfois !
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