Avant les vacances je suis allée faire un tour à l'expo Dries Van Noten, INSPIRATIONS. Vous l'avez probablement vu sur mon InstaMachin. Before holidays I went to visit the exhibition INSPIRATIONS, about Dries Van Noten (you probably noticed on my Instagram).
(NB : les photos étant interdites dans l'enceinte de l'expo, je ne peux vous faire de vraie preview).
Je dois admettre que c'était d'abord par pure curiosité puisque je ne connais pas vraiment son travail, mais partant du principe que les expos que j'ai pu voir aux Arts Déco (Jean-Paul Goude et les frères Bouroullec notamment) m'avaient bien plu.
Je dois admettre que c'était d'abord par pure curiosité puisque je ne connais pas vraiment son travail, mais partant du principe que les expos que j'ai pu voir aux Arts Déco (Jean-Paul Goude et les frères Bouroullec notamment) m'avaient bien plu.
Inspirations met en parallèle le travail du créateur et les éléments fashion, artistiques, historiques ou tout simplement les éléments du quotidien qui ont inspiré et influencé son travail.
Et les sources sont multiples.
Si au départ, on peut dire que ces inspirations sont académiques (comme les designers qui ont suivi leur enseignement à Anvers), Van Noten a été influencé par les courants asiatiques/japonais très en vogue dans les années 1980, mais aussi milanais, londonien, parisiens. Et de fait, on retrouve exposées quelques pièces phares de Kenzo, Armani, Kansai Yamamoto ou Jean-Paul Gaultier à côté des vêtements de Dries Van Noten.
(Please note that there were no photography allowed inside the exhibition, so this will be a very light preview).
I must admit that I went to this event firstly out of curiosity as i did not know much of Van Noten's work. But since I really enjoyed the previous exhibition I visited at the Arts Deco (such as Jean-Paul Goude and les frères Bouroullec).
Inspirations presents the work of the designer and parallels the fashion, artistic historical or simply the day-to-day elements, which inspired and influenced its work. And the sources are numerous.
If in the early days, his inspiration was academic (like the other designers who studied in Anvers in the 1980s, Van Noten was influenced by the Asian/Japanese trends, very en vogue at the time as well as trends from Milan, London, Paris. And consequently, some of the main designs of Kenzo, Armani, Kansai Yamamoto and Jean-Paul Gaultier are showed next to Dries Van Noten's garments.
Avec une marque éponyme créee en 1986 et un rythme actuel de minimum 2 collections par an, on comprend que Dries Van Noten ait puisé son inspiration partout.
Notamment à travers la faune et la flore, tels les papillons, (cf. un somptueux ensemble du soir d'Elsa Schiaparelli datant de 1937), les peintures, la nature morte, le 7ème art (avec Les Chariots de Feu ou Orange Mécanique (collection P/E 2000).
Mais il y a eu aussi le punk, le graphique (qui présente une magnifique robe de Jeanne Lanvin des années 30 et une robe Balenciaga des années 50), l'or, le style dandy, les jardins, le folklore espagnol ou même la Vénus bleue d'Yves Klein.
With an eponymous brand launched in 1986 and a current pace of 2 collections per year at least , we can easily understand that Dries Van Noten drew from so many sources.
Especially from fauna & flora such as butterflies (cf. the brilliant ensemble du soir from Elsa Schiaparelli, 1937), paintings, still life, Cinema (with The Chariots of Fire or A Clockwork orange, collection S-S 2000).
But there was also punk, graphics (with a beautiful Jeanne Lanvin gown from 1930s and one of Balenciaga from the 50s), gold, dandy, gardens, spanish traditions or even the Blue Venus of Yves Klein.
With an eponymous brand launched in 1986 and a current pace of 2 collections per year at least , we can easily understand that Dries Van Noten drew from so many sources.
Especially from fauna & flora such as butterflies (cf. the brilliant ensemble du soir from Elsa Schiaparelli, 1937), paintings, still life, Cinema (with The Chariots of Fire or A Clockwork orange, collection S-S 2000).
But there was also punk, graphics (with a beautiful Jeanne Lanvin gown from 1930s and one of Balenciaga from the 50s), gold, dandy, gardens, spanish traditions or even the Blue Venus of Yves Klein.
L'influence "DANDY" m'a vraiment interpellée, avec des vestes en fourrure léopard (ou mieux, à la doublure
intérieure léopard) que ne renieraient pas Puff Daddy ou 50Cent
(collection Hommes A/H 2006-07).
Mais c’est la collection INDIA, (Femmes Printemps/Eté 2010) directement inspirée des saris traditionnels qui m'a le plus plu, avec la collection inspirée du GRAPHIQUE.
Mais c’est la collection INDIA, (Femmes Printemps/Eté 2010) directement inspirée des saris traditionnels qui m'a le plus plu, avec la collection inspirée du GRAPHIQUE.
Passionnés de mode, coquets dandys ou curieux de savoir-faire, je vous invite à aller voir cette expo, qui nous montre à quel point la mode n'est pas seulement une coquetterie, mais aussi un art, l'expression et le témoignage d'une époque (roooooo la la, c'est beau ce que je dis!)
The influence of Dandy caught my attention, with leopard fur jackets (or even, furry lining), which Puff Daddy or 50Cent would sport proudly (Men Collection AW2006-07). But it is the INDIA collerction (Women SS 2010), directly inspired from the traditional saris, that I liked the most, as well as the collection inspired by graphics.
Those who are passionate about fashion, a clothes-conscious dandy or simply curious about this know-how, go and see this exhibition, which shows us how much fashion is not anly about being vlothes-conscious, but it is also an art, a means of expression and a testimony of our time (oooohhhhh my , oh my! Ain't that nice what I'm saying!).
S.U.L.A
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